Photothèque Charles Flahault



C'et le portrait d'une époque. Le début du XX ième siècle

Elle rassemble alors les travaux de ses amis photographes, botanistes ou forestiers comme de , Johannès Lagarde, , A le Blondel, Louis Emberger, Georges Fabre, Julien Calas, Loius Emberger, Fond photographique Alphonse Faure, Jahandiez, Henri Lévêque de Vilmorin, J. de Joly et autres photographes non identifiés.

Diaporama Photothèque Charles Flahault

L’inventaire de l’ensemble du fonds Charles Flahault réalisé par le Service commun de la documentation de l’UM2 et Marie-France Flahault, présidente de l’association « Présence de Charles Flahault » est aujourd’hui terminé. Les images ont été numérisées par la photographe de la Bibliothèque Interuniversitaire de Montpellier, Béatrice Py. Le fonds est conservé par le Pôle Patrimoine scientifique et la BU des sciences de l’Université Montpellier 2. Les collections de l'UM2

Comment contribuer à l’enrichissement de cette collection ?

Les chercheurs et passionnés sont invités à nous aider à compléter les notices descriptives des photographies, s’ils disposent d’indications chronologiques, spatiales ou d’informations scientifiques sur les clichés présentés dans la base. Si vous avez connaissance d'autres photographies en relation avec ce fonds, n'hésitez pas à le signaler (il manque par exemple une série entière de 50 plaques du Mont Ventoux répertoriée dans le carnet de Charles Flahault).

Vous pouvez adresser vos propositions, corrections ou demandes de renseignement au Pôle Patrimoine scientifique en n’oubliant pas de préciser le numéro de la photographie concernée (ex : photo n° F1742) à : collections@univ-montp2.fr

 


Les photos que nous vous présentons dans le diaporama, ont été sélectionnées tout d'abord avec l'œil d'un photographe admirateur des immenses efforts réalisé pour réaliser ces très belles images et un amoureux du massif de l'Aigoual.

J'ai souhaité rendre omage au travail des phtographe portraitiste.

Certes Charles Flahault en est la personne qui à patiemment collectionné ces images, l'Université Montpellier 2 et l'Institut de botanique l'héberge et veille à sa diffusion et à sa bonne conservation. Dans le diaporama qui vous est présenté, nous avons essayer de rendre justice aux nombreux photographes qui avec Charles Flahault ont enrichi cette collection. La plus importante contribution sera celle de Louis Emberger. Pour ma part, j'éprouve un grande admiration pour les plaques de verre de Julien Calas. Le webmaster


Il ne faut pas oublier, nous sommes au début du siècle, la photo en est qu'à ces débuts, l'équipement était lourd et encombrant.




Courtoisie Archives Nationales

Dans les débuts de la photographie, la plaque de verre fut d'abord humide : le photographe devait la préparer sur place, c'est-à-dire étaler convenablement l'émulsion photographique sur le verre au moment de l'emploi.

Ensuite apparaissent les plaques sèches, d'abord au collidion. Dans les années 1870, Richard Leach Maddox crée les plaques sèches dites "au gélatino-bromure d'argent".

Puis les frères Auguste et Louis Lumière inventèrent l'étiquette bleue, disponible dans le commerce des années 1890 jusque vers 1950. Il s'agit d'une plaque sèche, dont le temps d'exposition est de 1/60 de seconde. Elle fera le succès de la famille Lumière avant l'invention du cinématographe.

Celle-ci fut peu à peu remplacée, dès le début du XXe siècle, par la pellicule (pourvue d'un papier support), due à George Eastman, puis par le film (sans papier support) emprunté au cinéma.

Pour des besoins professionnels, on dispose aussi d'un support semi-rigide appelé plan film, qui se manie comme la plaque de verre, c'est-à-dire avec une certaine lenteur, mais offre tout à la fois la légèreté et la planéité, alliant en cela les qualités du film et celles de la plaque.






Association Causses-Cévennes d'action citoyenne

Avenue du Devois, Le Devois, Saint Sauveur Camprieu, 30750, tel 0467826111.
Site internet : http://www.adhca.com, Email: adhca@live.fr