Surf park a Saint-Jean-de-Luz






Un projet de piscine à vagues artificielles à Saint-Jean-de-Luz... à 1,5 km de l’océan

Un projet de bassin à vague artificielle, prévu sur huit hectares de terres agricoles à Saint-Père-en-Retz, divise la population et mobilise les écologistes, qui envisagent d’occuper le site.





2 programmes de constructions

La zone d’activité économique de JALDAI regroupe des industries, des entreprises d’artisanat et de commerce.

Deux projets d’extension d’urbanisation sont prévus dans ce secteur dans le Plan Local d’urbanisme (PLU) afin d’y développer l’habitat et d’étendre l’activité économique.







Ce projet est avant tout une aberration environnementale, il détruira à jamais des hectares de zones naturelles (boisement et zones humides) ainsi que des terres agricoles. La majeure partie du projet a été identifié comme à fort enjeu écologique et des espèces ainsi que des habitats protégés et à protéger seront détruits mais cela n’est pas “suffisant” pour stopper le projet. L’impact paysager du projet dans l’un des secteurs les plus hauts de la commune reste à démontrer malgré les promesses d’intégration dans l’environnement (avec des bâtiments de trois étages la question peut légitimement être posée.

Son implantation à proximité immédiate de l’océan est en soi un non-sens et une erreur irréversible en termes d’aménagement du territoire.
Dans le contexte actuel du changement climatique, ce projet va l’aggraver ainsi que l’artificialisation des sols, l’étalement urbain, la perte de biodiversité et la disparition des terres agricoles.

La (sur)consommation d’eau et d’énergie pour faire fonctionner cette mégastructure est équivalente à celle de centaines de foyers. Ce seront plusieurs dizaines de milliers de mètres cubes d’eau potable consommés (et dont le traitement viendra aggraver un système d’assainissement déjà problématique). Une heure de surf est équivalente à plusieurs semaines de consommation d’eau et d’électricité d’un foyer “moyen”…
Une surconsommation pour créer des vagues artificielles alors qu’au contraire il serait judicieux d’utiliser les vagues naturelles qui produisent de l’énergie

 

Station houlomotrice de Mutriku au Pays Basque Sud

Sauvegarde des espaces naturels et des terres agricoles

Pour Herri Berri, ce projet de Surf Park présente donc toutes les caractéristiques d’un « Grand Projet Inutile et Imposé »

Les espaces naturels du projet doivent être préservés pour leur vocation écologique, notamment les boisements et les zones humides qui sont des habitats à fort potentiel écologique. Les terres agricoles doivent également être maintenues dans leur usage agricole. Elles pourraient être dédiées à la création d’un verger et du maraîchage à destination des cantines municipales luziennes, crèches ou établissement pour seniors. Le développement d’une agriculture locale et paysanne est prioritaire et primordial pour l’avenir. Ces terrains étant majoritairement propriétés de la commune, les citoyens doivent être concertés en connaissance de cause. Un tel projet ne peut être imposé ni aux citoyen(ne)s ni aux générations futures.( Les propositions de Herri Berri).*

« Dans les Landes, on est d’accord pour couper des pins pour faire un projet intelligent. Le problème n’est pas de couper les pins, c’est d’avoir un projet intelligent ! »





Gourmands en eau, en énergie et en espaces agricoles et naturels, ces complexes de loisirs rencontrent des résistances partout où ils s’implantent.


Seine-Saint-Denis

Surfer à Sevran, un non-sens écolo et social ?

De nombreux opposants dénoncent un projet « énergivore » et « non écologique » sur un territoire où un enfant sur deux ne sait pas nager.

Lyon

Il sera bientôt possible de surfer la plus grande vague indoor d'Europe au premier City Surf Park de Lyon. On a discuté avec l'un de ses fondateurs.



Saint-Père-en-Retz, à quarante-cinq kilomètres de Nantes (Loire-Atlantique)

A l’ouest de Nantes, un projet de surf park soumis à une immense vague de contestation

unprogramme délirant, consommateur d’espaces naturels, d’eau et d’énergie.

Les projets de surf parks en bord de mer font des vagues

En janvier 2018, le journal l’Equipe recensait déjà six projets de surf park, des bassins à vague artificielle pour pratiquer la discipline, répartis dans toute la France. Une liste qui devrait s'allonger dans les années à venir, notamment dans les plus grandes villes françaises comme Paris, Lyon ou Marseille. Un projet en Loire-Atlantique déchaîne les passions Une tendance qui est loin de plaire à tous.

En Loire-Atlantique, un projet de surf park près de l'océan fait polémique

- Nouvelle ZAD ?

Les luttes se multiplient contre les surf parks, « absurdité environnementale »

Certains surfeurs dénoncent une évolution contraire à la philosophie de la discipline, qui requiert une proximité avec la nature.

 





Association Causses-Cévennes d'action citoyenne

Avenue du Devois, Le Devois, Saint Sauveur Camprieu, 30750, tel 0467826111.
Site internet : http://www.accac.eu, Email: adhca@live.fr